Les colporteurs

 

lune

 

oscar

Oscar, le colporteur attrapeur d’histoire.

magidées

 

 

plantulle

 

 

azim

Azim aimait voyager, il aimait aussi les gens, et bien sûr, la bonne ripaille. Sa vie était l’union  de ses trois passions (entre autres), Azim était colporteur boulanger. Il parcourait le monde, pour voir comment chacun faisait son pain, et il partageait ses apprentissages, avec ceux le désirant, et ceux qui en avait besoin.

Un jour, tranquillement allongé dans une plaine espagnole, se reposant après un bon repas, il fut réveillé par une petite taupe sortie de terre, celle ci avait un message pour lui, Radulphe de Sanzay avait perdu l’appétit et s’ennuyai. Ses amis lui demandait de venir les rejoindre afin de remédier à ce petit malheur. Et ainsi Azim prit les chemins, son sac à grains et levain en bandoulière, et parti pour les Deux sèvres…

 

blasius

 

 

gaïa

Un jour, tout en haut d’une montagne, Gaÿa fût pris d’une envie folle : atteindre l’horizon ! Alors il prit son baluchon, quelques rustines, un harmonica… et enfourcha sa bicyclette. Il traversa les campagnes, les montagnes, les océans et les déserts. Il rencontra des Touaregs, des Malgaches, des Aborigènes, et des Zoulous. Il vit des autruches, des girafes, des phacochères et des serpents. Il voyagea comme ça pendant une sacrée tirée, tranquillement, colportant par chemins de Terre.

Un jour, alors qu’il bivouaquait au cœur de la forêt amazonienne, un drôle d’oiseau surgit d’un nuage de perroquets multicolores : un pigeon deux-sévrien ! « Vindiou c’est t’y pas possib ! » Se dit Gaÿa.

Le pigeon se posa devant lui, et lui tendit un message :

« Camarade Colporteur, on a besoin de toi : Radulphe de Sanzay s’ennuie à en mourir. »

Ni une ni deux ni trois ni quatre, Gaÿa prit ses jambes à son vélo et mis le cap azimut sur…

Le Château de Sanzay !…

violette

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